Labyrinthe rouge - Chapitre 4

Chapitre 4

Icaryl le regarda enlever son long manteau et sa chemise et en mettre un nouveau.. Il boutonna ses manches et revint vers elle, l'attrapant par la nuque et la mettant sur ses genoux. Son pouce gauche lui caressait le lobe de l'oreille tandis que son autre main tenait sa fine cheville qui saignait jusqu'à présent.. Raide et immobilisé, elle était comme une poupée, pas une personne.

La main qui souleva son vêtement ensanglanté et essuya ses jambes ensanglantées était assez méticuleuse.. Elle ne pouvait pas croire que c'était la main d'un tueur. Il lui essuya les pieds et monta progressivement. Icaryl était tellement absorbée par ses pensées qu'elle ne s'en rendit même pas compte à cause de la tension.. Seulement quand son long, des doigts minces atteignirent son bassin et elle se retourna. L'homme lui a attrapé le poignet, son visage sans émotion.

C'était une petite force, mais il suffisait qu'elle soit menacée. Elle haleta, son visage rougit et les larmes lui montèrent aux yeux. Les petits gémissements et l'impuissance du corps furent arrêtés par la main douloureuse. Tandis que Lucien la tenait légèrement inclinée, il pouvait voir le petit, pointe enflée.

"Quel âge as-tu?"

Elle lui a répondu.

"16."
"Vraiment?"

Sans aucune surprise ni déni, il a parlé clairement.

"Première fois?"

Elle acquiesça, fermant les yeux fermés.

Elle avait tellement honte. Il n'y avait aucune autre femme présente dans la pièce. Elle tressaillit lorsque Lucien glissa sa main à l'intérieur de ses cuisses.. Sa réaction de jeune fille était complètement contraire à ce qu'il avait pensé.

Il a demandé en balayant ses parties.

"Incroyable, tu es encore jeune et ton beau-frère voulait t'avoir comme ça?"

Icaryl est resté silencieux.

L’étrange obsession de Hatiah pour elle était aussi un mystère pour elle. En tant que gendre du roi et futur dirigeant, il y avait beaucoup de belles femmes autour de lui. Il pourrait être attiré par la beauté de nombreuses personnes, que ce soit, hommes ou femmes.

La princesse, qui lui était fiancée, elle n'avait qu'un défaut à la mâchoire inférieure, mais le reste de son corps était excellent. Alors évidemment, Hatiah n'était même pas du tout intéressé par Icaryl, qui avait à peine de la graisse de bébé.

Mais un jour, quand il pleuvait beaucoup, Icaryl jouait seul dans une forêt reliée au temple et au palais royal. Elle est tombée et s'est cassé la jambe. Elle ravala un gémissement lorsqu'elle fut trouvée par un groupe de personnes., monter à cheval.

Pendant que son entourage allait appeler un domestique, il était irrité alors qu'il se tenait à côté de la petite fille et essayait même de la laisser tranquille quand ils étaient en retard. Icaryl, qui avait peur, pleuré de douleur et s'accrochait à lui. la fille, qui s'est fait arracher brutalement les petits orteils par terre, a soudainement arrêté de pleurer et a regardé Hatiah avec un air maussade.

Elle avait dit,
"Si tu ne m'emmènes pas avec toi, vous souffrirez également de la douleur causée par la déchirure de votre membre chaque nuit.

Hatiah, figé comme frappé par elle, la regarda d'une manière comme s'il n'avait jamais vu son visage. Peu après, Icaryl est revenue à sa douceur habituelle, soi sensible. Trempé par la pluie, elle sourit doucement comme une brume avec des mèches de cheveux accrochées à son visage et des yeux rouges brumeux. Hatiah regardait fixement sa peluche, transparent, et des yeux rouge-vert profondément enfoncés. Ce n'est qu'après l'arrivée des préposés qu'il détourna les yeux..

Depuis, son attitude envers elle a changé de cent quatre-vingts degrés, mais elle était si petite qu'il ne pouvait pas l'avoir tout de suite. Il la surveillait à chaque mouvement, si elle était malade ou si elle était réprimandée par les femmes prêtres, qui a pris soin d'elle. Il n'était pas différent du renard avide qui souhaitait que les tombes des vignes mûrissent bientôt..

Icaryl ne se souvient pas grand-chose de son enfance.

Elle a juste su à un moment donné, le noble, Pluie, j'étais impatient avec elle. Elle pensait que personne d'autre ne pouvait être absorbé par sa beauté car sa féminité n'avait pas encore commencé à ce moment-là..

pourtant, à Lucien, son corps petit et faible semblait très excitant et merveilleux. Il toucha le lobe de son oreille et tapota son menton peint et ses paupières douces.. Il déboutonna lentement son vêtement, passant ses doigts le long de sa clavicule et de la bosse dans son cou. Des frissons lui parcoururent le dos lorsqu'elle sentit son contact froid..

"Tu es si petit et faible. Est-ce à cause d'une maladie génétique de votre famille? On dirait que tu mourras immédiatement si j’essaie de te posséder.

Lucien a mis son nez dans les cheveux blancs d'Icaryl. On aurait dit qu'elle était plus un petit animal sauvage qu'une femme.. Non, elle avait encore l'air trop jeune pour être une femme. La façon dont elle tressaillait à cause de son odeur était aussi mignonne.

Tout d'abord, il y avait l'odeur du sang qu'elle connaissait, depuis la première fois qu'ils se sont rencontrés. Seconde, il y avait une légère brume dans l'air qui semblait avoir volé d'un tronc d'arbre humide et trempé de pluie provenant d'une forêt lointaine. Et enfin, la sueur d'un jeune être fuyant la bête. C'était un mélange des trois.

Le contact de ses doigts était doux. Le dernier bouton de sa robe, qui semblait difficile à déboutonner…..tombé par terre après un léger *craquement* de fil.

Alors qu'elle fondit en larmes, Lucien s'est rendu compte que son vêtement était déchiré. Cela a toujours été sa stratégie chaque fois qu'il se réconciliait avec des femmes. Il était à l'origine de toutes sortes d'incidents et d'opérations anormales., mais son orientation sexuelle était trop pour cette fille ensoleillée.

Il regarda son visage exposé plein de larmes avec des yeux ternes avant de le recouvrir d'un peignoir., comme si c'était un sac. Il a vu son petit menton ruisselant de larmes alors qu'il la serrait dans ses bras et la boutonnait..

Ses yeux rouges et larmoyants étaient si enivrants.

Il avait la couleur des taches de sang sur les feuilles de roses, ses cils flottaient comme les ailes d'un papillon.

Et surtout, ils stimulaient la beauté de la nature…..

As her frowning face was reflected in his blue eyes, her red pupils widened and she shivered as if she had just spotted a serpent, who was well disguised, sticking out from the grass.

Her skinny little foot, which was about to fall on the floor, flashed back into the air. Her fingers clenched as she felt another tremor near her stomach.

Peu après, he swallowed Icaryl’s lips roughly, as if to desperately crush her shaky red eyes.

*

“You are Icaryl, the last princess of Argonia. Est-ce correct?"

The respective facial expressions of the aristocrats reminded her of the priests of the temple, who thought she had left in her past. Immédiatement, she felt a chill in her spine. It reminded her of the day when her fate was decided. Icaryl answered, quivering like a sick person.

"Oui, I-I am.”

There was nothing more she could do. Avant même qu'elle ait fini sa phrase, ils ont commencé à discuter entre eux. Les vieillards en vêtements violets la regardèrent avec désapprobation.. Elle attrapa une de leurs lèvres en disant, "La demoiselle d'honneur de Dieu". On aurait dit qu'ils étaient les chefs de la religion impériale..

Au milieu de nombreux désaccords, la belle dame a dit.

« Je pense qu’il va falloir entendre ce qu’Esperesse a à dire. Dans les deux cas, le mérite de cette guerre lui revient après tout.
"Ce sera un honneur, Votre Majesté."

Était-elle la concubine de l'Empire?

Alors que leurs regards se croisèrent à nouveau, elle a rapidement baissé le regard. Le sentiment d'être mangé était encore frais dans son esprit. Elle a dû lutter pour réprimer son envie de se ronger les ongles à nouveau.. Un lent, un accent impérial digne parvint à ses oreilles.

«J'avais déjà fait une déclaration plus tôt. Il vaudrait mieux offrir la dernière lignée d’Argonie à l’Empereur.
"Offre?"
"Oui, cela fera grand plaisir à Son Altesse puisqu’il a perdu ses forces à cause de sa maladie.

Le regard subtil disparut des visages des prêtres et des aristocrates. Icaryl jeta un coup d'œil à son visage pour voir qu'il souriait légèrement.. Elle ne pouvait pas y croire même si elle entendait par ses propres oreilles.

"Vous m'offrez à l'Empereur?'

Ses yeux, plein d'anxiété tourné du côté de l'homme, dont les pensées étaient si inconnues. Elle devra peut-être à nouveau vivre dans le désespoir, la même chose que chez elle.

"Vas-tu me livrer à l'Empereur?'

Mais des flammes de soulagement montèrent dans la moitié de son corps alors qu'elle voulait vivre, quelle que soit la méthode dont elle a dû souffrir.

"Waouh, on plaisante? Son Altesse souffre souvent de convulsions et d'une longue fièvre. Comment peux-tu lui offrir une si jeune nana? Veux-tu qu'il devienne un pervers?"

Un homme maigre d'âge moyen avec un monocle harcelé. Cette simple remarque a encore une fois remué la table. Au milieu de diverses disputes dues à l'excitation et à la peur, les parties impliquées dans le conflit sont restées à l'écart pendant le reste de la conversation concernant le sauvetage.

Pendant que Lucien regardait Icaryl.

Ses yeux bleus se rétrécirent en fentes. Le côté de ses lèvres se souleva légèrement avant de s'effacer à nouveau.. Icaryl était plus sensible et tenace que quiconque, il pensait.

Cet homme savait comment gagner.

Et moins d'une heure plus tard, Icaryl reçut le nom de Si Bonne et devint la maîtresse de l'Empereur..